L’aménagiste est régulièrement confronté à des questions de valeurs : par exemple, doit-il privilégier, dans ses analyses et propositions, les aspects de court ou de long terme ? Comment doit-il articuler sa légitimité technique avec la légitimité élective ? En fonction de quels critères doit-il fixer les honoraires de ses clients ? Doit-il assurer un suivi des aménagements qu’il a proposés ? Doit-il systématiquement proposer une consultation des populations de l’aire géographique sur laquelle il intervient ? La réponse professionnelle et juridique à ces questions se trouve habituellement dans les déontologies et l’éthique.